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Épisode 2 : Prémisses littéraires (2)
érotisme, lecture à haute voix, exhibition, masturbation
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Durée : 05:58 min
La suite de ces prémisses littéraires: quand je lis une de mes histoires coquines devant 5 hommes dont mon mari...
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« J’ai envie que tu me goûtes…
L’homme se pencha et très tendrement, lui écarta les cuisses davantage. Il enfouit son visage entre elles et commença de la laper. Il était ardent : il passait du haut de ses jambes à ses aines, mordillant ses lèvres au passage. Puis, il fit s’insinuer sa langue dans sa fente pour y chercher son clitoris, le suçoter et le mordiller. Cela n’avait rien de sauvage : juste des endroits très précis qui donnent à sa maîtresse du plaisir quand ils sont titillés de cette façon. »
Les quatre hommes, à présent, passaient ostensiblement les doigts contre la tirette de leur pantalon en soupirant… Il y avait des petits grognements. Je demandai à mon mari, toujours lui, d’aller me chercher un petit repose- pieds afin que je puisse surélever les miens. J’avais en projet de relever davantage ma robe afin de leur faire voir à tous que je ne portais rien dessous…. Le but, c’était tout de même qu’ils bandent et se branlent en m’écoutant, rien ne m’interdisait d’un peu me déshabiller et de toute façon, c’était juste une manière de me tenir, pas de me dévêtir…
Mon mari m’apporta rapidement ce que j’avais demandé et retourna à son poste d’observation. Ses yeux brillants me firent part de son excitation et cela me rendit heureuse…
« Son amant continuait de se servir de sa langue… Elle pensa qu’elle devait être très mouillée car il lui demanda
- Je peux me glisser en toi ?
Il n’était pas fréquent qu’il lui pose ce genre de question : d’habitude, il souhaitait que sa partenaire s’empale sur son sexe raide et imposant. Celle- ci était un peu étonnée mais, bien évidemment, elle accepta. Elle accueillit donc son membre en elle avec énormément de volupté. Ses va- et- vient alternaient entre rapidité et langueur. Quand ils étaient rapides, sa verge titillait juste l’endroit particulier qui la fait jouir très vite quand il est stimulé. Outre le fait que cela la mène au septième ciel, il y avait ce sentiment de tendresse, de bien- être délicieux qui accompagnait le mouvement. Quand ils étaient plus lents, ils étaient aussi plus profonds, plus appuyés. Et elle adorait cela follement aussi.
Mon amant, au lit, c’est vraiment un … dieu, pensa- t- elle. Il le savait et en jouait très habilement, d’ailleurs. »
Je m’étais interrompue. Le paragraphe n’avait pas été long mais mes auditeurs en avaient profité pour ouvrir leur pantalon et le sexe à la main, ils se masturbaient tranquillement. Le jeune homme avait toujours les yeux fermés. Il semblait savourer l’instant avec délectation. Ceux qui étaient arrivés ensemble se branlaient l’un l’autre : des bi, assurément, bien montés et bien émoustillés. Quant au dernier, il faisait mine de conserver ses esprits mais ce n’était absolument pas le cas. Il avait les lèvres scellées mais si on tendait l’oreille, on percevait clairement les soupirs qu’il essayait de cacher… Mon mari était toujours à son poste d’observation. Regarder ces hommes se branler en m’écoutant, c’était vraiment très excitant. Il ne se caressait pas, du moins, à cet endroit. Par contre, il avait saisi ses tétons et se les pinçait avec vigueur. Dans un souffle, je l’entendis me demander de reprendre au plus vite, qu’il allait jouir et qu’il y en avait d’autres qui étaient dans le même cas que lui… Je repris, donc…
« L’homme s’acharnait à présent. Il n’y avait plus que ses mouvements amples et un peu rapides qui taraudaient l’intimité de sa maîtresse. Elle le sentait gonfler et gonfler encore. Il lui chuchotait dans l’oreille, tout en continuant de s’introduire en elle puis de ressortir qu’elle était sa salope et qu’il adorait la baiser comme ça… L’orgasme était proche autant pour l’un que pour l’autre… »
Les mains de mes auditeurs étaient de plus en plus véloces. Les unes cachées dans les boxers, les autres tenant fermement les sexes sortis des pantalons. Tous étaient prêts à jouir. Comme un coup de grâce, je relevai ma robe pour dénuder totalement mes jambes… Ils allaient voir ce qu’ils allaient voir. Dessous, je ne portais rien d’autre que mes bas : pas de culotte ou de string, juste ma peau.
L’effet fut immédiat. L’auditeur le plus âgé jouit le premier. Je pense que depuis le début, il s’empêchait vraiment d’être excité. Il jouait au grand seigneur mais au final, entendre et regarder quelqu’un de mon âge ne le laissait nullement indifférent.
Les deux hommes qui étaient arrivés ensemble éjaculèrent avec force et fracas, si je puis dire. Ils gémirent, se laissèrent complétement aller et y perdirent pratiquement leur souffle.
Quand au plus jeune, mon mari, dois- je vous avouer que je le pris en bouche pour le « terminer », qu’il ne rouvrit les yeux que pour me voir l’emboucher et que c’est cela qui le transporta aux affres du plaisir ? Et là, c’est moi qui jouis…. Autant que lui… Et vous, quel effet mon texte vous a- t- il prodigué ?
Commentaires
Epihappy
mmmmh , un moment délicieux, je l'ai relu aussitôt une deuxième fois, merciBleue
Bientôt une suite plus coquine encore ! Merci pour le commentaire, Epihappy.jdbg
encore moi, et un petit reproche : lle mari est au début derrière un rideau, et à la fin c'est lui le jeune homme qu'observait, entre autres, la lectrice. Petite incohérence, mais qui nous vaut une surprise. Sinon, la scène est vraiment bien rendue. Et on a du mal à imaginer une suite, mais vous, apparemment, non... Tant mieux !Bleue
Jdbg, j'ai relu attentivement mais je ne vois pas où le bâts blesse. Le mari est derrière le rideau. Il y reste jusqu'à ce que la lectrice ait terminé sa lecture. Le dernier paragraphe, c'est ce que la lectrice (moi, en l'occurrence) demande à son mari qui l'a simplement écoutée lui raconter son histoire de cercle de lectures avec ces quatre hommes. Pour le suite, ce sont d'autres épisodes dont plusieurs sont déjà écrits… D'autres auditeurs, d'autres histoires et d'autres chutes ! Merci pour votre intérêt pour mes textes.jdbg
Quand au plus jeune, mon mari, dois- je vous avouer que je le pris en bouche pour le « terminer », autant pour moi, j'avais pris ce "mon mari" pour une apposition, alors qu'elle s'adresse a lui pour lui avouer... sa gourmandise. SorrySophieStLaurent
Une belle lecture ce matin... Merci Bleue !